« comment être moins timide ? »
« comment être plus à l’aise dans les conversations ? »
« comment avoir plus de répartie ? »
« comment être plus apprécié par les autres ? »
« comment avoir plus de charisme ? »
« aaaah, si je pouvais leur expliquer qui je suis…
… pour qu’ils comprennent comment je fonctionne !»
« aaah, si j’avais su quoi dire pendant cette discussion ! »
« qu’est-ce que je m’en veux de n’avoir pas su trouver les bons mots… »
« si seulement je pouvais être plus sociable ! »
… etc, etc.
Ces phrases, qu’est-ce que je les ai entendues !
Dans ma tête, d’abord ^^
Et puis dans vos messages…
Un vrai bourdonnement de phrases aussi méchantes les unes que les autres…
… dans notre cerveau hypercritique.
Hypercritique envers soi-même, bien-sûr.
Peu envers les autres…
Et s’il suffisait de stopper ce bourdonnement ?
De ne plus s’en vouloir pour tout ça ?
Et s’il suffisait d’arrêter de vouloir toujours PLUS ?
Et s’il suffisait de dire à notre cerveau :
« écoute, ce bourdonnement de phrases négatives, tu es bien gentil mais… ça suffit là ! ».
Par exemple…
… vous avez quelques amis…
… mais vous en voulez de ne pas être plus sociable…
Ces quelques amis ne suffisent-ils pas ?
Ou, par exemple…
… vous avez un emploi satisfaisant,
… on vous fait confiance,
… vous êtes capable de faire des présentations en public,
… mais vous avez du mal à intervenir en réunions et on vous le faire remarquer.
Est-ce si grave de ne pas intervenir en réunions quand tout le reste marche bien ?
N’avez-vous pas déjà plein d’autres qualités qui suffisent à vous rendre heureux ?
Ou encore…
… quand vous rencontrez des amis, vous vous sentez bien au début,
… vous échangez avec les personnes que vous appréciez,
… mais rapidement vous perdez de l’énergie et n’arrivez plus à intervenir dans les discussions,
… et vous vous en voulez alors de ne pas savoir être plus drôle, gai, agréable, intéresant(e)…
Mais, au début, tout allait bien, non ?
Pourquoi se focaliser sur la fin qui allait moins bien ?
Et pourquoi ne pas partir, simplement, quand l’énergie baisse…
… et se contenter de cette première heure où vous étiez bien ?
C’est ce bourdonnement incessant en nous…
… souvent assez spécifiques aux personnes introverties.
Car nous vivons de manière « intérieure ».
Nous intériorisons tout,
Analysons tout,
Tout ce qui se passe autour de nous…
… doit être analysé, vérifié,
… sous toutes les coutures.
Ce bourdonnement intérieur,
je ne pense pas qu’il soit possible de l’arrêter totalement.
A moins de faire une opération chirurgicale pour changer de tempérament.
Mais je pense qu’on peut en prendre conscience…
… et lui donner moins d’importance.
Le canaliser.
Le simple fait de savoir qu’il existe,
et qu’il nous éloigne souvent de la réalité…
… aide déjà à lui donner moins d’importance.
Par exemple :
Quand il me dit que les autres pensent de moi que je suis trop timide…
… en fait c’est en grande partie faux,
et c’est en grande partie mon bruit intérieur qui me dit ça.
Si je partage avec vous cette idée aujourd’hui,
C’est parce que c’est une chose qui m’a énormément aidée.
Car au lieu de se dire :
« qu’est-ce que je suis bête de sans cesse me dévaloriser »
… on se dit :
« c’est normal, je me dévalorise, c’est encore ce bourdonnement intérieur. C’est pas grave ».
C’est assez relaxant.
Et ça permet de prendre de la distance avec cette voix négative,
et se concentrer sur le positif de la situation.
Vous voyez le truc ?
Je vous souhaite de tout mon cœur d’arriver à prendre conscience de ce bourdonnement intérieur, et à le canaliser.
Ça fait vraiment beaucoup de bien.
Et si vous souhaitez que je vous aide pour ça…
… regardez la formation Introverti Epanoui.
C’est un vrai parcours pour vous aider justement à ne plus donner d’importance à ce bourdonnement intérieur,
et vous focaliser sur vos réels atouts positifs pour avoir du charisme, une vie sociale riche, et être épanoui au quotidien.